Salut Benoît !! Ton passage ce blog suffit à lui seul à justifier le retour de ce blog . J'adore "Tonya Harding" . Tu trouveras ici ( = http://www.impactus.info/?cat=837) un lien pour télécharger une autre version-acoustique- de ce titre . A bientôt , je l'espère ;)
Salut Xavier , j'ai bien évidemment relancé JP . Il bosse pas mal en ce moment mais j'espère qu'il trouvera un peu de temps pour poster quelques billets .
Ce qui m'a toujours gêné avec Alela Diane , c'est son physique . En effet , à la lecture de la plupart des billets publiés à son sujet à l'époque j'avais davantage l'impression de lire la prose de Bigards policés que de passionnés de musique ... Est-ce la raison pour laquelle je suis passé à côté de ses disques ? Peut-être ... En tout cas l'écoute de ce "Ether & Wood"( découvert grâce à l'émission de Michka Assayas ) me donne envie de redémarrer le scenic, de passer prendre l'éternel JP et d'aller la voir en concert . A 31 euros la place tout de même ... Et au milieu des chiens de talus ...
Je n'écoute plus Nick Cave . Il y a bien longtemps que je préfère à ses morceaux les artistes que – formidable passeur - il m' a fait découvrir : Johnny Cash , Elvis , pour ne citer qu'eux. J’ai connu une époque où Nick Cave était mis en concurrence avec Jeffrey Lee Pierce pour l’accession au titre de successeur de Jim Morrissson ( figure fascinante avant l’accident Oliver Stone ...). Rien de moins. S'il me semble que contrairement à Tom Waits il n’est jamais tombé dans l'auto-parodie , les « murder ballads » jetaient tout de même un sérieux doute sur l’intérêt à suivre sa carrière et j’ai finalement décroché après le très beau « Boatman’s call » . Je n’écoute plus Nick Cave mais pour la première fois de ma vie je viens d’acheter un billet de concert à 68 euros ( !! ) pour aller le voir au théâtre de Fourvières. 68 euros ! 68 : l’année du fabuleux come-back d’Elvis . Nick Cave , 64 ans . « Bright horses » , le plus beau morceau du mo
En ces temps troublés où l’on se prend à espérer pouvoir respirer un air aseptisé , Shane Mac Gowan s’impose musicalement comme une évidence : ça postillonne , ça chuinte , mais c’est terriblement juste et beau . Tellement beau que c’est impossible à définir ou même à expliquer : c’est bancal , ça penche , ça devrait tomber , mais non ... Non seulement ça tient , mais ça emporte . Je crois qu’il y a de la magie dans tout ça . Shane Mac Gowan n’a pas décrété un matin qu’il serait bon. Tout ça ne dépend pas de lui . Pour preuve , on peut écouter la version d’Ed Sheran , honnête artisan qui a pris toutes les mesures , toutes les bonnes cotes et entendre à quel point ça tombe à plat …
welcome back ;)
RépondreSupprimerOh... Mon premier commentaire ...
RépondreSupprimerMerci ;)
Sinon, le morceau , tu en as pensé quoi ?
RépondreSupprimeron reconnait bien le Stevens
RépondreSupprimerj'aime bien son Illinoise of course mais sans crier au génie :D
Excellente nouvelle Daniel !
RépondreSupprimerEt Sufjan ton amour de toujours pour commencer, encore mieux. Tu as écouté sa toute nouvelle Tonya Harding ?
Benoît
Salut Benoît !! Ton passage ce blog suffit à lui seul à justifier le retour de ce blog .
RépondreSupprimerJ'adore "Tonya Harding" . Tu trouveras ici ( = http://www.impactus.info/?cat=837) un lien pour télécharger une autre version-acoustique- de ce titre .
A bientôt , je l'espère ;)
Yeah ca marche !!!
RépondreSupprimerje salue le come back le plus inattendu de l'année ! et l'ami JP alors ?
Salut Xavier , j'ai bien évidemment relancé JP . Il bosse pas mal en ce moment mais j'espère qu'il trouvera un peu de temps pour poster quelques billets .
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