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                                 Dur temps pour la  musique qui souffre beaucoup en ce moment : le coronavirus  aura fait sortir de son silence JJ Goldman et n'aura pas réussi à faire taire Calogero ...   Face à ce qui peut être une réelle source d'angoisse pour certains ( dont je fais partie ) , on se lancera dans l'écoute du dernier album de Sufjan Stevens , à télécharger ICI .    Sufjan a collaboré avec LE Lowell de son chef d’œuvre "Carrie and Lowell" ( l'un des plus beaux albums de tous les temps ) mais à en juger par les extraits écoutés , la déception risque bien d'être mise , Sufjan se laissant aller à ce qu'il y a de plus pénible chez lui : l'electronica folk ... 

                                                                                    Incompréhensible : - Palme d'or à Cannes . - Oscar du meilleur film . - Prix des auditeurs du Masque et la plume . - 4.8 / 5 sur allo ciné. - Ressortie en salle pour une version noir et blanc. Est-que  quelqu’un pourrait m’expliquer cette unanimité face à ce film ?? - Scénario tout d'abord prévisible puis grotesque . - Jeu d'acteurs digne de Spectreman ou de San Ku Kai . - Critique sociale aussi fine que dans une chanson engagée de Florent Pagny  . On est loin, très très loin d'Old Boy ...

       Tout arrive : François Ozon, responsable de l’insupportable "Huit femmes" ( en gros,  du Luc Besson pour bobos ), réalise avec "Grâce à Dieu" un film passionnant et tendu , bien plus fort que le très long et très surestimé  "Spotlight"auquel on l'a beaucoup comparé . Une belle surprise . A quand un bon film avec Luchini , une prise de position politique de Torreton qui ne soit pas gênante ou une intervention de Nicoals Rey qui ne donne pas envie d'étrangler ce dernier ? Qui sait ? Tout peut arriver ...