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Affichage des articles du janvier, 2018

Les vivants et les morts : Merz !

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 Il ne s'agit pas d'opposer les uns aux autres - ce qui serait ridicule - mais de rappeler que Merz demeure l'un des artistes vivants les plus passionnants et injustement méconnus . Le très insipide  Chris Martin a pourtant déclaré à son sujet:"«  Merz sonne comme personne d’autre au monde, et le monde se porterait bien s’il n’écoutait personne d’autre  », mais cela ne semble pas lui avoir apporté beaucoup d'audience . Et c'est regrettable .Non pas que je souhaite plus que ça côtoyer le public de Coldplay en concert mais la musique de Merz mériterait une reconnaissance publique bien plus large que celle qu'elle obtient actuellement ...

Tiens bon , Billy ...

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  Mark E. Smith est mort ...   Toutes mes pensées vont à Billy Childish : même âge , même capacité à sortir tous les six mois un album avec des titres super accrocheurs mais qu'on n'écoute pas plus de trois fois . J'espère que j'aurai l'occasion de le voir au moins une fois ...

Graham Coxon - The End Of The F***ing World

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   Pas sûr que j'aille au bout de cette courte série ( 8 épisodes de 20 mn ) : ça se veut original , mais ce n'est finalement qu'un croisement entre Moonrise Kingdom de Wes Andersons  ( pour la fugue des deux ados et l'esthétique marquée ) et Restless* de Gus Van Zant ( pour le côté insupportable et provocateur des personnages).    En revanche , la bande originale composée par Graham Coxon est très accrocheuse. Pas fan du tout de Blur - et encore moins des projets ethnico-multiples de Damon Albarn- j'avais déjà repéré Coxon et sa dégaine fragile , entre Rivers Cuomo et Buddy Holly. ( *Restless est un chef d’œuvre , la version digne de "Nos étoiles contraires").

Mystery of love - Sufjan Stevens .

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Sans commentaire . Tout le génie ( et Dieu sait que je n'emploie que très rarement ce terme ) dans ces quatre minutes renversantes de beauté et de finesse .

Retour de nextmusic ...

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Après une longue absence , retour de nextmusic avec ce titre de Mammal Hands